Le paysage qui fascine un peintre doit donc comporter à la fois le
visible et l'invisible. Tous les éléments de la nature, qui paraissent
finis sont en réalité reliés à l'infini. Pour intégrer l'infini dans le fini,
pour combiner visible et invisible, il faut que le peintre sache exploiter
tout le jeu de Plein-Vide dont est capable le pinceau, et de concentrée-
diluée dont est capable l'encre.
Pu Yen-T'u
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