Il s’agit d’établir à quel point les bien-aimés vivent en sécurité, intouchables, et quelle est l’ampleur de l’avant-cour de leur cœur où se joue le drame de celle qui demande à être reçue, encore et encore… Il ne faut pas que lui soit épargnée, pas plus qu’à moi, une confrontation dont la valeur nous dépasse l’un et l’autre, de loin…
Christine lavant, Notes de l’asile de fous, 1946